Poésie

(Deuxième partie) La même année, lors de la pleine lune du 10ème mois, je quitte le studio de la neige et rentre à Lin-kao. Deux amis m’accompagnent. Nous passons par la Sente de la boue jaune. Le givre c’est déposé, … Lire la suite­­

Bel exemple d’universalité à travers le temps et l’espace entre deux civilisations (Occident et Extrême Orient), lorsque poésie et musique se croisent et se lient : quand la poésie du chinois Li Po (702-762) inspire le musicien autrichien Gustav Mahler … Lire la suite­­

les frères Tsen Shen* aiment les sites merveilleuxils m’emmènent pour une promenade lointaine sur le lac Wei-Peiciel et terre soudain changent de couleur, s’assombrissentsur dix mille arpents les vagues s’accumulent comme du cristal,une vaste étendue de cristal où vogue notre … Lire la suite­­

Le jour de la fête de la Naissance du Bouddha, dans la cellule du moine supérieur Shan-yong (deux poèmes). après le repas une tasse de thé, inutile qu’elle soit profondedans le vent clair un lit vaut mille onces d’ormon ventre … Lire la suite­­

Le cheval tartare de l’attaché militaire Fang le célèbre cheval tartare du Ferghana à l’ossature angulaire, émaciée,a les deux oreilles pointus comme des bambous taillésle vent s’engouffre entre ses quatre sabots allègredévorant l’espace, il anéantit les distanceson peut vraiment lui … Lire la suite­­

« Comment Wang-Fô fut sauvé » de Marguerite Yourcenar Le vieux peintre Wang-Fô et son disciple Ling erraient le long des routes du royaume de Han. Ils avançaient lentement, car Wang-Fô s’arrêtait la nuit pour contempler les astres, le jour pour regarder les … Lire la suite­­

Su Shi (1037-1101) : « La sente de la boue jaune » Je sors de Lin-kao et file vers l’Està la chapelle au milieu d’un bois, je tourne vers le nordje monte la pente de la colline où se trouve le Studio … Lire la suite­­

Il y a Su Shi et sushi, doublé de sushi et narezushi鮓 Ode au porc de Su Shi (1037-1101) La saveur du porc est étonnante si le couvercle est soulevé au bon moment.Le prix du porc à Huangzhou est très … Lire la suite­­

Tu Fu (712-770)Complainte de ma chaumière endommagée par la tempête. au huitième mois, au coeur de l’automne, le vent se met à rugir sérieusementil soulève sur ma maison trois couches de chaumele chaume s’envole, traverse la rivière et se disperse … Lire la suite­­