A tâtons dans un tunnel.

Il y eut les gilets jaunes, poussée de fièvre des sans grades, « ceux qui ne sont rien » et la réception musclée servie par l’exécutif des sachants … voici de nouveau les gens dans la rue pour défendre leurs droits à la retraite (les mêmes plus d’autres), bloquant le pays avec pour mot d’ordre générique :

« LES POUBELLES SERONT RAMASSÉES
LORSQUE LE PROJET RETRAITE SERA DEDANS »

On se souvient qu’il y eut la guerre déclarée au COVID, aussitôt suivie d’une guerre déclarée au climat (avec « sobriété ») jusqu’à ce que l’ami Poutine choisisse cet état d’un monde affaibli comme très opportun pour envahir l’Ukraine, « une expédition punitive », espérant bénéficier de cette fragilité d’un monde en déséquilibre pour pousser ses soldats de plomb et surprendre jusqu’à la sidération « le monde dominant », sonnant l’heure du déclin, déjà programmé selon le récit historique vieux de plusieurs siècles dressant Sparte contre Athènes, dénommé depuis l’EFFET THUCYDIDE.
Mais le succès escompté s’est révélé un piètre calcul et une encore plus tragique erreur, installant de fait une tranchée durable entre deux mondes et à l’issue indéterminée.
Un autre feu couvait, dans les sous-sols des banques … il s’est réveillé après quelques bâillements.
… Ne vient-il pas de franchir l’Atlantique ?

C’est mal barré …