C’est le Diable qui tient les fils qui nous remuent!
Charles Baudelaire : Les Fleurs du mal (Au lecteur, extrait).
Aux objets répugnants nous trouvons des appas;
Chaque jour vers l’Enfer nous descendons d’un pas,
Sans horreur, à travers des ténèbres qui puent.
Que l’on soit en guerre ou en paix avec ses voisins, invariablement des images de destructions défilent sous nos yeux et l’on ne sait plus comment faire pour arraisonner ces pulsions mortifères et ces instincts morbides.
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