Clamecy/Reflets/Vitraux 4
Clichés d’une petite ville pris dans ses reflets : d’eau, de lumières, de vitrines, ou ce que l’on peut voir de la topographie, de l’Histoire et de la crise actuelle. Portrait en trois dimensions.
« Clamecy est une commune française située dans le département de la Nièvre, en région Bourgogne-Franche-Comté. Ses habitants sont appelés les Clamecycois. Clamecy est le lieu de naissance de plusieurs personnalités : un prix Nobel de littérature, Romain Rolland ; un grand navigateur, Alain Colas, et un ministre de l’Économie, Arnaud Montebourg », dixit Wikipédia.
« Voici la fonction du vitrail : dans l’édifice il fait pénétrer la lumière du soleil et, du même coup, il en opère la transformation, il la pares, il la revêt des prestiges des diverses gemmes, rubis, topazes, émeraudes, lapis, dont les lapidaires analysaient les vertus et qu’ils mettaient en correspondance avec les qualités de l’âme et les essences spirituelles. Le vitrail c’est l’art du trésor, l’art des chasses, des calices, des autels qui vient s’incorporer à la bâtisse. Il établit l’espace entier du sanctuaire dans les scintillements de l’orfèvrerie liturgique. Il en fait l’écrin d’une gloire annonciatrice des splendeurs surnaturelles, il transforme l’âme dans l’émerveillement. Mais comme les plaques d’émail des ambons, des croix et des reliquaires, le vitrail est aussi prédication de vérité. Il enseigne. Par ses images, il maintient dans la voie droite la méditation des serviteurs de Dieu. Il les guide vers la vraie croyance. »
Georges Duby : L’Europe des cathédrales.
Tirage 5 exemplaires sur papier FineArt-Smooth Hahnemühle Photo Rag 308 gsm, (format 85x42cm).
Disponible en boutique.
marie-thérèse Péroz-Blaise
Eclats de lumière fascinants ,très beaux ,hypnotiques de beauté .
Les lumières de la foi sont inutiles pour rester heureux ,traversés par la pureté des couleurs .
Merci d’avoir été là ,d’avoir saisi ce moment et de le partager .
Hervey
Dans cette trilogie d’images sur la ville de Clamecy, tout c’est déroulé vite. Vite et bien comme si j’avais été visité par l’inspiration. J’ai fait toute une série de clichés sans savoir ce que je faisais vraiment sans qu’il y ait d’intentions et ce n’est que deux ou trois mois plus tard que j’ai compris ce qui s’était passé : sans que je ne m’en sois rendu compte lorsque j’arpentais les berges, les rues ou me rendait à l’heure propice dans l’abbatiale. La trilogie des reflets eau/vitraux/vitrines était inscrite dans un projet dont je n’avais pas vraiment idée au départ. J’en ai pris conscience après, petit à petit en classant les clichés. Les textes de Vinci, Duby et Soupiot sont venus sceller cette histoire.