Déclinaison : « Une voie européenne sans issue »
C’est un fait, l’Europe se délite et refuse désormais de passer par les voies étroites et « libérales » dictées par le vieux monde politique traditionnel.
La méthode imposée à la Grèce ne semble pas réjouir les autres Etats de l’Union. Les gens ont compris que la concurrence à marche forcée n’avait rien de très équitable, ne devait plus être considérée comme une référence ou une règle de conduite.
Faire la sourde oreille et ne pas vouloir entendre le message ne ferait qu’exaspérer les populations.
Ne rien faire et temporiser serait la voie ouverte à de vieilles querelles mortifères. Personne n’y a intérêt.
- A tort ou à raison, l’Angleterre s’est retirée.
- La Grèce, blessée, a perdu ses dernières illusions.
- L’Italie cherche à fuir par tous les moyens cette incarcération à ciel ouvert et ses faux amis de l’Union, bien décidée à échapper au rôle qu’on veut lui assigner.
- Le gouvernement polonais n’entend pas qu’on lui dicte sa conduite et se dit prêt à braver les lois communautaires.
Les peuples ne sont pas unanimes pour plébisciter les politiques imposées. C’est le moins que l’on puisse dire.
Erasmus exulte : »Shit ! Merde ! Scheiss ! Mierda ! Merda ! Cague ! Rahat !… «
La richesse des peuples d’Europe s’exprime dans la diversité de ses langues.
Le monde, c(s)’est compliqué !
marie-thérèse Péroz-Blaise
Victor Hugo avait raison –une fois encore–qui rêvait des Etats Unis d’Europe et non d’une Europe Unie ,mirage de technocrates ou de dictateurs économistes sans humanité ,et même sans humanités .
Chaque état d’Europe a conquis rudement son indépendance ,s’est bâti une histoire propre et ne souhaite pas disparaître au bénéfice des GAFA et autres multinationales qui resserrent leur griffes dans la peau d’Europe .
Eileen
Merci beaucoup, je participe avec plaisir !