digigraphie
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Hommage à Antoine de Messine2
« Cette série est née d’un dégout.
Dégout de voir s’organiser aujourd’hui un certain type d’élevage et d’abattage d’animaux destiné à venir garnir nos assiettes.
Cette insulte faite au vivant est une insulte à l’homme lui-même.
S’en est suivie l’impérieuse nécessité de porter un autre regard sur le monde animal, d’en dresser un portrait plus sympathique et plus flatteur que n’en disent les scandaleuses lois comptables qui régissent ces camps aseptisés où l’on parque des bénéfices.
Fraternellement j’ai choisi pour alliés la Peinture et quelques uns de ses grands peintres proches de la représentation photographique. »
Ici, c'est un autre hommage à Antoine de Messine.
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Hommage à Antonio Pollaiuolo
« Cette série est née d’un dégout.
Dégout de voir s’organiser aujourd’hui un certain type d’élevage et d’abattage d’animaux destiné à venir garnir nos assiettes.
Cette insulte faite au vivant est une insulte à l’homme lui-même.
S’en est suivie l’impérieuse nécessité de porter un autre regard sur le monde animal, d’en dresser un portrait plus sympathique et plus flatteur que n’en disent les scandaleuses lois comptables qui régissent ces camps aseptisés où l’on parque des bénéfices.
Fraternellement j’ai choisi pour alliés la Peinture et quelques uns de ses grands peintres proches de la représentation photographique. »
Ici, un hommage à Pollaiuolo.
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Hommage à Bellini
« Cette série est née d’un dégout.
Dégout de voir s’organiser aujourd’hui un certain type d’élevage et d’abattage d’animaux destiné à venir garnir nos assiettes.
Cette insulte faite au vivant est une insulte à l’homme lui-même.
S’en est suivie l’impérieuse nécessité de porter un autre regard sur le monde animal, d’en dresser un portrait plus sympathique et plus flatteur que n’en disent les scandaleuses lois comptables qui régissent ces camps aseptisés où l’on parque des bénéfices.
Fraternellement j’ai choisi pour alliés la Peinture et quelques uns de ses grands peintres proches de la représentation photographique. »
Ici, c'est un autre hommage à Bellini.
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Hommage à Botticelli
« Cette série est née d’un dégout.
Dégout de voir s’organiser aujourd’hui un certain type d’élevage et d’abattage d’animaux destiné à venir garnir nos assiettes.
Cette insulte faite au vivant est une insulte à l’homme lui-même.
S’en est suivie l’impérieuse nécessité de porter un autre regard sur le monde animal, d’en dresser un portrait plus sympathique et plus flatteur que n’en disent les scandaleuses lois comptables qui régissent ces camps aseptisés où l’on parque des bénéfices.
Fraternellement j’ai choisi pour alliés la Peinture et quelques uns de ses grands peintres proches de la représentation photographique. »
Ici, c'est un autre hommage à Sandro Botticelli.
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Hommage à Courbet
« Cette série est née d’un dégout.
Dégout de voir s’organiser aujourd’hui un certain type d’élevage et d’abattage d’animaux destiné à venir garnir nos assiettes.
Cette insulte faite au vivant est une insulte à l’homme lui-même.
S’en est suivie l’impérieuse nécessité de porter un autre regard sur le monde animal, d’en dresser un portrait plus sympathique et plus flatteur que n’en disent les scandaleuses lois comptables qui régissent ces camps aseptisés où l’on parque des bénéfices.
Fraternellement j’ai choisi pour alliés la Peinture et quelques uns de ses grands peintres proches de la représentation photographique. »
Ici, c'est un autre hommage à Courbet.
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Hommage à Domenico Ghirlandaio3
« Cette série est née d’un dégout.
Dégout de voir s’organiser aujourd’hui un certain type d’élevage et d’abattage d’animaux destiné à venir garnir nos assiettes.
Cette insulte faite au vivant est une insulte à l’homme lui-même.
S’en est suivie l’impérieuse nécessité de porter un autre regard sur le monde animal, d’en dresser un portrait plus sympathique et plus flatteur que n’en disent les scandaleuses lois comptables qui régissent ces camps aseptisés où l’on parque des bénéfices.
Fraternellement j’ai choisi pour alliés la Peinture et quelques uns de ses grands peintres proches de la représentation photographique. »
Ici, c'est un autre hommage à Domenico Ghirlandaio.
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Hommage à Elisabeth Vigée Le Brun
« Cette série est née d’un dégout.
Dégout de voir s’organiser aujourd’hui un certain type d’élevage et d’abattage d’animaux destiné à venir garnir nos assiettes.
Cette insulte faite au vivant est une insulte à l’homme lui-même.
S’en est suivie l’impérieuse nécessité de porter un autre regard sur le monde animal, d’en dresser un portrait plus sympathique et plus flatteur que n’en disent les scandaleuses lois comptables qui régissent ces camps aseptisés où l’on parque des bénéfices.
Fraternellement j’ai choisi pour alliés la Peinture et quelques uns de ses grands peintres proches de la représentation photographique. »
Ici, un hommage à Elisabeth Vigée Le Brun.
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Hommage à Ghirlandaio
« Cette série est née d’un dégout.
Dégout de voir s’organiser aujourd’hui un certain type d’élevage et d’abattage d’animaux destiné à venir garnir nos assiettes.
Cette insulte faite au vivant est une insulte à l’homme lui-même.
S’en est suivie l’impérieuse nécessité de porter un autre regard sur le monde animal, d’en dresser un portrait plus sympathique et plus flatteur que n’en disent les scandaleuses lois comptables qui régissent ces camps aseptisés où l’on parque des bénéfices.
Fraternellement j’ai choisi pour alliés la Peinture et quelques uns de ses grands peintres proches de la représentation photographique. »
Ici, c'est un hommage à Ghirlandaio.
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Hommage à Goya
« Cette série est née d’un dégout.
Dégout de voir s’organiser aujourd’hui un certain type d’élevage et d’abattage d’animaux destiné à venir garnir nos assiettes.
Cette insulte faite au vivant est une insulte à l’homme lui-même.
S’en est suivie l’impérieuse nécessité de porter un autre regard sur le monde animal, d’en dresser un portrait plus sympathique et plus flatteur que n’en disent les scandaleuses lois comptables qui régissent ces camps aseptisés où l’on parque des bénéfices.
Fraternellement j’ai choisi pour alliés la Peinture et quelques uns de ses grands peintres proches de la représentation photographique. »
Ici, un hommage à Goya.
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Hommage à Hubert Damish
Gravure numérique 9 couleurs (certifiée digigraphie) tirée en atelier sur imprimante EPSON Pro 3880.
Tirage à 5 exemplaires, signé, numéroté de 1 à 5 sur papier Epson Water Color Radiant White 195 g/m2.
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Cette gravure intitulée "Hommage à Hubert Damish" fait partie de la série NUAGERIE :
« Une suite d’images construites en prenant le nuage, les nuées comme vecteur de créativité plastique. Thème baudelairien, impressionniste ou chinois, le nuage toujours changeant jamais le même est un élément essentiel dans le ciel de Bourgogne (et pas seulement) qu’il traverse d’ouest en est chaque jour. »
Hommage à Ingres
« Cette série est née d’un dégout.
Dégout de voir s’organiser aujourd’hui un certain type d’élevage et d’abattage d’animaux destiné à venir garnir nos assiettes.
Cette insulte faite au vivant est une insulte à l’homme lui-même.
S’en est suivie l’impérieuse nécessité de porter un autre regard sur le monde animal, d’en dresser un portrait plus sympathique et plus flatteur que n’en disent les scandaleuses lois comptables qui régissent ces camps aseptisés où l’on parque des bénéfices.
Fraternellement j’ai choisi pour alliés la Peinture et quelques uns de ses grands peintres proches de la représentation photographique. »
Ici, c'est un hommage à Ingres.
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Hommage à Ingres 2
« Cette série est née d’un dégout.
Dégout de voir s’organiser aujourd’hui un certain type d’élevage et d’abattage d’animaux destiné à venir garnir nos assiettes.
Cette insulte faite au vivant est une insulte à l’homme lui-même.
S’en est suivie l’impérieuse nécessité de porter un autre regard sur le monde animal, d’en dresser un portrait plus sympathique et plus flatteur que n’en disent les scandaleuses lois comptables qui régissent ces camps aseptisés où l’on parque des bénéfices.
Fraternellement j’ai choisi pour alliés la Peinture et quelques uns de ses grands peintres proches de la représentation photographique. »
Ici, c'est à nouveau un hommage à Ingres.
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