Deuxième tour : Evitons le pire !
C’était écrit.
Un collectif qui ne joue pas collectif est condamné.
Inutile d’épiloguer … mais il faut arrêter la dégringolade et laisser ses rancoeurs au vestiaire.
Au théâtre, un présomptueux mauvais perdant sera toujours le ridicule de la pièce.
Dans la réalité c’est plus grave et ça se paie cash.
Rebelote donc (comme la dernière fois).
Barrage strict et raisonné à l’extrême droite.