Fin du dollar.
En faisant machine arrière à marche forcée vers la démondialisation, le nouveau président des Etats Unis Donald Trump annonce de facto la démission du dollar en tant que principale monnaie de réserve mondiale.
Suivant le principe des vases communicants, aussitôt, l’or prend des couleurs … et, chacun voulant assurer ses arrières, des banques centrales jusqu’aux particuliers, son appréciation et son prix montent en flèche.
Ce transfert de confiance vers l’or était déjà palpable depuis plusieurs mois.
Depuis longtemps déjà les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) n’avaient plus confiance au dollar, renonçant à utiliser cette monnaie pour commercer, souhaitant une alternative à la monnaie américaine.
La démondialisation assumée par le gouvernement de Donald Trump acte la fin du dollar comme monnaie internationale.
Fin du leadership américain.
Le déficit abyssal des USA était déjà une marque de faiblesse de l’économie américaine et avait de quoi inquiéter mais l’imposition de taxes excessives décidées par Trump pour pénaliser les marchandises arrivant sur le marché américains semble avoir décillé les yeux du monde sur l’état réel et vacillant du leader en question, donnant un coup décisif au dollar lui-même, créant pour le coup un déficit de confiance généralisé chez les prêteurs et détenteurs des obligations américaines, en premier lieu la Chine bien décidée à braver le mâle dominant de la tribut.
Conclusion.
« Les USA sont une puissance qui ne fait plus peur car elle perd ses guerres, sa monnaie n’est plus protégée et ils ont acté eux-même que leur empire appartenait au passé. »
Hervey
Pas piquée des vers la « Lettre ouverte au président » de Tommy Lee, batteur de Mötley Crüe.
« Cher malade mental en chef,
Ta dernière conférence de presse… c’était pas un discours, c’était une salade de mots qui a fait un AVC en dévalant un escalier. T’étais tellement à côté de la plaque qu’il t’aurait fallu un tuba et une lampe frontale pour retrouver le fond. Et cinq minutes après, tes larbins reculaient plus vite que des acrobates du Cirque du Soleil en moonwalk.
Et alors en Inde, laisse-moi en parler. Tu t’es autoproclamé visiteur le plus populaire de leur histoire. Un pays d’un MILLIARD de personnes, qui existe depuis 3 000 ans. Sérieux ? Gandhi attirait des marées humaines. Toi, t’as rempli un stade… dont la moitié s’est barrée avant la fin. Bravo, champion.
Tu te rends compte à quel point t’as l’air timbré ? T’es l’équivalent politique d’un plug anal d’imitation. C’est comme ce mec persuadé qu’une strip-teaseuse l’aime vraiment — sauf que toi, c’est 10 000 fois pire, et t’as zéro lucidité.
Tu nous fatigues. Chaque jour avec toi, c’est un test pour voir combien de temps 300 millions de personnes peuvent tenir avant de s’arracher le fion avec une vrille à glace. Et à chaque fois que j’entends un extrait de tes pets vocaux de banshee new-yorkaise, j’ai envie de me cogner la tête contre un mur.
On est crevés. Éreintés. On savait que ton mandat serait un désastre — merci Poutine — mais franchement, on n’imaginait pas que ce serait à ce point-là.
Tu as qualifié un dictateur nucléaire de « petit et gros ». Et tu crois que ça aide quoi que ce soit ?
Tu as accusé une femme — une ex-amie, en plus — d’avoir débarqué en sang à ton hôtel en te suppliant de la laisser entrer. TOI, le mec qui ressemble à un haggis de Noël revenu à la vie par le chapeau magique de Frosty. TOI. T’as osé.
T’as essayé — avec une jubilation presque sexuelle — de virer 24 millions de personnes de leur assurance santé.
T’as arrosé les entreprises et les riches de milliards, tout en racontant aux pauvres que t’étais là pour eux. Un vrai tour de magie. Sauf que t’es pas Houdini, t’es juste un escroc en costard froissé.
Tu as soutenu un pédophile, léché les bottes de dictateurs sadiques, et défendu — littéralement — des NAZIS.
99 % de ce qui sort de ta bouche est soit faux, soit débile, soit cruel, soit un gloubiboulga infâme de tout ça en même temps.
Et pendant ce temps, Porto Rico est toujours dans la merde. Toi, tu t’es offert, à toi et à ta clique, des milliards en réductions fiscales pour Noël. Et eux ? Des rouleaux d’essuie-tout balancés comme des frisbees.
Alors stop. Assez. Par pitié, pour tout ce qui est juste, humain, et vaguement sain d’esprit, ferme cette bouche à KFC qui te sert de gueule jusqu’à ce que t’aies un truc pertinent — ou au moins pas totalement dégénéré — à dire.
T’es un sandwich à la teub frite avec un accompagnement de saucisses molles. Si la chlamydia et la gonorrhée avaient un enfant, tu l’aurais nommé ministre de la Santé. T’es un ragoût de pus, bourré de sophismes, d’idées moisies, de délires indéchiffrables et d’une rage aussi mal placée que mal digérée.
T’es littéralement la couche d’un orang-outan de cirque, version platonicienne.
Alors va te faire foutre, Monsieur le Président. Et va te faire foutre pour toujours.
Ah, et Vance, espèce de furet de salon huileux, va bien te faire foutre toi aussi. T’auras autant d’utilité qu’une théière en chocolat pendant une pandémie, espèce de suceur de Bible sans colonne vertébrale. »
Hervey
Guerre économico-financière : droits de douanes contre T-Bonds …
https://www.youtube.com/watch?v=69iYsT4QwA0