Organiser une exposition en période de pandémie est un pari héroïque mais ce n’est pas un choix gagnant.
Je conseillerais donc, de préférence, le commerce de « gelati-mota » doublé d’une assurance option mauvais temps.

En temps ordinaire, la peinture n’est pas considérée comme une denrée périssable qui doit être consommée dans les meilleurs délais mais en ces temps particuliers où rôde masqué le vilain Covid-19, le consommé ne fait pas recette, laisse froid pour tout dire et dans la plus parfaite indifférence les quelques dé-confinés qui déambulent sur les trottoirs de la petite ville de Clamecy dans le Nièvre.
Mais, il y a des exceptions, des surprises en ces heures tristes et décousues.
Elles se reconnaitront. Merci.
L’exposition ira jusqu’à son terme, le 24 juillet.
