Galerie de l’Office, juillet 2020, suite et fin

L’exposition prise comme un événement et sa mise en échelle. Grimace.

Plus qu’une anecdote.


Sur la porte de la Galerie, grande ouverte tous les jours de 15h à 18h 30, une araignée a pu au fil des jours tisser deux fils d’argent en diagonale en travers de la porte et une toile plus haut (son repaire) dans le coin supérieur droit ou gauche selon que l’on est à l’extérieur ou à l’intérieur.
Vous pigez ?…
C’est tout dire du nombre de gens qui ont pu franchir la porte d’entrée.

Sacré Covid ! Aurait-il passé un pacte secret avec l’araignée ?
Nous voici rendus au seuil d’une fable : « La Galerie, le Covid et l’araignée ».

J’acquiesce d’une mou grinçante … y voyant une projection plus lourde encore pour les jours à venir… ne peux m’empêcher de penser au vicomte de Turenne apostrophant sa jument avant la bataille de Salzbach contre les Hollandais :
« Tu trembles Carcasse mais tu tremblerais encore plus si tu savais où je te mène ».
En espérant cette fois, que le boulet de canon passera plus au large.
Dit autrement !
Les effets des causes ou le monde tel qu’il va.

PS : Ici plus rien ne marche, l’Internet n’est accessible qu’à de rares moments. Mon passage à Catalina sur iMac a rendu inutilisables les logiciels d’images.
Un été pourri.

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